Perdre du temps quand on est dans une situation d’urgence, c’est augmenter ses risques !

Objectif : 5 %
Objectif baisse de 5% par an des émissions de GES
+ 6 milliards en 100 ans

Quelques chiffres…

  • Objectif réaliste et nécessaire : baisse de 5% par an des émissions de GES !
  • Quel est le coût d’une planète Terre invivable ? La station spatiale internationale a coûté une centaine de milliards de dollars pour être construite et lancée et y héberger 6 personnes… Soit 15 milliards de dollars par personne ?
  • Fondée depuis deux siècles sur l’utilisation croissante de ressources historiquement considérées comme infinies, notre économie bute désormais de manière répétée sur les limites physiques de la planète : Diamètre constant de la Terre, près de 13,000 km pour une population croissante de près de 8 milliards (+6 milliards en 100 ans environs).

 

Perdre du temps quand on est dans une situation d’urgence, c’est augmenter ses risques !

  • La réduction de la dépendance de nos activités aux flux de matières et d’énergie devient une nécessité stratégique, financière, écologique et sociale. C’est un domaine transversal et systémique !
  • Les entreprises doivent pouvoir répondre à cette question clef : Comment m’organiser au mieux pour rendre mon activité compatible avec les contraintes générées par ce « changement climatique » ?
  • Le temps n’est plus à la résistance face à la contrainte mais à l’action ! Oui, mais comment ?

D’abord, il s’agit de comprendre les implications pour mon entreprise et mes partie-prenantes, ce qui permettra ensuite de discriminer (en fonction des sujets et problématiques abordés) et d’arbitrer pour répondre aux questions suivantes :

Quelle est mon empreinte carbone ? Décarboniser à l’aide d’autres énergies ? Quels sont les potentiels des énergies renouvelables pour remplacer l’énergie fossile ? Quel est mon meilleur mix énergétique ? Comment  mettre en œuvre mes arbitrages ?

 

Un peu de contexte 

  • L’énergie est notre affaire ! Par énergie, il est entendu l’utilisation de machines, et donc d’énergie, pour nous fournir tout le matériel qui nous entoure… Ce n’est donc pas un débat sectoriel, ni un sujet technique, ni une discussion de quelques militants climatiques.
  • Quel est le niveau de risque ? L’augmentation de la productivité repose sur l’emploi de machines et sur les flux logistiques.
  • C’est de la responsabilité des décideurs de lancer ces démarches et de s’entourer pour dessiner un avenir sérieux.

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