Quelques chiffres…
65
%
de la surface terrestre est altérée
50
%
du PIB mondial
10
%
de baisse des émissions en 2020
- 75% de la surface terrestre est altérée de manière significative par les activités humaines (selon l’IPBES, Science and Policy for People and Nature).
- 55% du PIB mondial dépend d’une biodiversité et de services écosystémiques performants (étude du Swiss RE Institute).
- Baisse estimée de 12% des émissions de CO² en France en 2020, année marquée par la pandémie (Bilan énergétique Mondial, Enerdata).
Très concrètement, ça commence par… Quelques exemples…
- Intégrer le risque climatique comme élément clef dans les prises de décisions stratégiques : portefeuille de projets et d’investissements, choix de développement de nouveaux produits et services, sélection de fournisseurs, chaîne d’approvisionnement, etc.
- Pour atteindre les objectifs fixés dans certaines entreprises de réduire de 50% leurs émissions de GES (gaz à effet de serre) d’ici 2030, il est impératif d’englober l’ensemble des chaînes logistiques pour être pertinentes.
De telles démarches sont encore embryonnaires dans la plupart des secteurs.
Objectif : Mettre en œuvre des actions concrètes et d’ampleur en faveur d’une consommation plus sobre de GES et ainsi limiter le réchauffement à 1,5°C.
N’oublions pas, 2020 a été l’année la plus chaude sur plus d’un millénaire !
Transition Climatique, comment modifier l’impact de ma structure sur le climat ?
Il s’agit de construire des positions innovantes et argumentées en convergence avec vos priorités business, en fonction de vos activités et de votre secteur :
- S’inspirer d’études et de synthèses économiques et scientifiques, réalisées avec une approche pragmatique, concrète, et guidée par l’exigence de la rigueur scientifique tout en s’appuyant sur un réseau de spécialistes et d’experts ;
- Appréhender ensemble la matrice risques/opportunités de votre environnement, identifier les relations de dépendance, impliquer les « bonnes » personnes ;
- Réfléchir ensemble aux meilleures options, articuler les dépendances locales et globales, utiliser de nouveaux indicateurs, faire des arbitrages ;
- Mise en application : se donner les moyens pour que « ça marche » ! Notamment en termes de répartition des budgets, de nouvelles compétences professionnelles, et de manières de calculer.
